Candidat engagé dans la vie professionnelle et la vie citoyenne
Je suis agriculteur et j’assume plusieurs responsabilités dans le monde coopératif. Engagé aux côtés d’Emmanuel Macron pour participer au renouveau de la vie politique française, je suis aujourd’hui le candidat à l’élection législative en Creuse issu de de société civile pour La République En Marche, le parti du Président.
Candidat audacieux et travailleur
J’ai le même âge qu’Emmanuel Macron, et déjà une expérience importante à de hautes responsabilités. Mon parcours professionnel diversifié m’a souvent donné l’occasion de gérer des situations nouvelles et difficiles. Travailleur, j’apprends vite et je sais m’adapter.
Candidat à l’écoute des Creusois et en lien avec le Président de la République
Le Président de la République m’a personnellement fait confiance en me choisissant parmi les 14 premiers candidats investis de la « République en Marche ». Cela me permet aujourd’hui d’être proche du Président de la République et de faire ainsi entendre efficacement la voix de la Creuse.
Mon parcours personnel
Je suis agriculteur dans l’ouest de la creuse sur la commune d’Aulon depuis 2006, sur l’exploitation familiale. Je suis sélectionneur de Limousines sur une exploitation de 180 hectares, avec un salarié. Je produis 90 % de la nourriture de mon troupeau. Originaire de la Creuse, je suis marié et père d’une fille de 4 ans.
Après ma scolarité en Creuse, j’ai fait une école d’ingénieur agronome à Clermont-Ferrand, suis revenu à Limoges pour mon premier poste, puis je suis allé en Côte d’or et en Charente Maritime. J’ai eu également des expériences professionnelles à l’international, notamment au Brésil et au Maroc, avant de revenir en Creuse où j’ai repris l’exploitation familiale.
Depuis mon installation, j’ai été amené à prendre des responsabilités importantes. En 2012 j’ai été élu à l’unanimité à la présidence de ma coopérative d’éleveurs : la CELMAR. Elle regroupe 800 éleveurs, avec 45 000 vaches sur la Creuse et les départements limitrophes.
J’ai mené de gros chantiers de restructuration pour redresser nos activités, notamment dans une filiale au Pays-Bas. J’ai aussi repris l’abattoir de Montmorillon qui était une société d’économie mixte en dépôt de bilan. Après plusieurs années difficiles la CELMAR a pu revenir à l’équilibre et se remettre à embaucher.